Quand il n'y a plus assez d'eau pour une douche...
Exploitation de coprah à côté de l'hôtel
Le village voisin de Las Terrenas :
Sur ces terres occupées jadis par les indiens Tainos, le dictateur Rafael Leonidas Trujillo ordonna en 1946 la fondation du village de Las Terrenas pour y envoyer de pauvres habitants de Santo Domingo qui se consacrèrent à la pêche et à l'agriculture pour survrivre. Pendant longtemps ce petit village de pêcheurs resta isolé du reste du pays puisqu'il faudra attendre 1989 pour que la piste de Sánchez souvent impraticable soit goudronnée, et 1994 pour que l'électricité arrive à Las Terrenas.
Sur ces terres occupées jadis par les indiens Tainos, le dictateur Rafael Leonidas Trujillo ordonna en 1946 la fondation du village de Las Terrenas pour y envoyer de pauvres habitants de Santo Domingo qui se consacrèrent à la pêche et à l'agriculture pour survrivre. Pendant longtemps ce petit village de pêcheurs resta isolé du reste du pays puisqu'il faudra attendre 1989 pour que la piste de Sánchez souvent impraticable soit goudronnée, et 1994 pour que l'électricité arrive à Las Terrenas.
Une promenade en moto mémorable vers Samana, puis El Limon... Locos !
La presqu'île de Samana fait près de 1 000 km² , riche en paysages pittoresques et envoûtants, elle constitue l'une des plus belles régions de la République dominicaine. D'est en ouest, elle est traversée par la cordillère de Samana, une chaîne de montagnes dont les sommets arrondis atteignent dans certains cas plus de 500 m. En plongeant abruptement en maints endroits dans les eaux bleues de l'océan ou de la Bahía de Samana, ces montagnes contribuent de façon remarquable au charme de la région. En outre, leurs versants abritent une végétation étonnante, tant par sa luxuriance que par sa grande variété.
Après une pause boisson bien méritée, nous étudions la carte routière et découvrons une petite route sensée rejoindre Las Terenas en passant par le petit village d'El Limon... Nous faisons le plein de la moto, (en oubliant de mettre de l'huile dans le mélange) et attaquons la piste sous les hurlements de " Locos ! " poussés par les indigènes à notre passage !
Et pour cause, car la piste est parfois si défoncée que je dois monter à pied, la moto refusant de monter avec deux passagers ! Le village est joli, les coups de soleil aussi ! La moto ainsi rudoyée rendra l'âme à un km de l'arrivée... et Dédé engueulera le pauvre loueur !!!
Et pour cause, car la piste est parfois si défoncée que je dois monter à pied, la moto refusant de monter avec deux passagers ! Le village est joli, les coups de soleil aussi ! La moto ainsi rudoyée rendra l'âme à un km de l'arrivée... et Dédé engueulera le pauvre loueur !!!
... Et le résultat !
L'heure du retour, approche, Raoul, le super organisateur de Voegele nous emmène à l'aérodrome d'où nous rejoindrons la capitale en petit avion...