Coup de gueule en préambule
Ce Népal, pays dont on rêvait... n'est pas le pays dont on rêvait !
En effet, nous avons été cruellement déçus par l'état de pollution incroyable de ce petit pays où nous pensions admirer les plus hauts sommets du monde. Or dès l'arrivée à l'aéroport, on constate que l'avion pose aux instruments, sans visibilité tant la brume due aux moteurs, aux usines, mais aussi à la déforestation est épaisse. On peine à respirer et dès le 3ème jour, ça ne manque pas, Olive se paie une angine carabinée ! A chaque fois que l'on va voir un site qui devrait être merveilleux selon les guides, c'est le même refrain, today : no mountains ! Et que dire du parc animalier de Chitwan où la ballade en pirogue permet d'admirer les déchets d'une société qui peine à gérer sa croissance. Les animaux se cachent-ils parce qu'ils ont honte du décor dans lequel ils vivent ?
Certes les temples sont magnifiques et les gens fort affables (sauf les dealers), mais tant de saleté partout a fini par nous gâcher le plaisir...
Certes les temples sont magnifiques et les gens fort affables (sauf les dealers), mais tant de saleté partout a fini par nous gâcher le plaisir...
Allons-y quand même !
C'est après une conférence de Connaissances du Monde que nous décidons brusquement d'abréger la rudesse de cette fin d'hiver interminable en partant à la découverte des paysages népalais... via Amsterdam et Delhi. Deux trois clics de souris et nous trouvons notre bonheur chez "Terres du Népal" agence de Laurent, un français et Charly son associé népalais.
Dès l'atterrissage, nous sommes frappés par l'espèce de brume jaunâtre qui enrobe la ville de Katmandou. Pas la moindre montagne en vue !
Heureusement, dès le lendemain matin, un survol de l'Himalaya est au programme. Nous rejoignons l'aéroport un peu en catastrophe, car la réception de l'hôtel a oublié de nous réveiller ! Ouf, on n'a pas loupé notre vol !
Un siège de chaque côté, ainsi chacun a son hublot pour profiter de la vue. Valou à l'aller, et moi au retour ! Superbe ! En plus, en plein vol, l'hôtesse nous invite à visiter la cabine de pilotage... Sympa !
Un siège de chaque côté, ainsi chacun a son hublot pour profiter de la vue. Valou à l'aller, et moi au retour ! Superbe ! En plus, en plein vol, l'hôtesse nous invite à visiter la cabine de pilotage... Sympa !
Le temple de Swayambunath, également nommé "Monkey Temple", est situé sur une colline à 2 km à l'ouest de Katmandou.
Katmandou, située au coeur de la vallée, est la capitale du Népal. Le grand Katmandou compterait plus d'un million d'habitants. C'est une ville pauvre affectée de plusieurs maux : insuffisance des infrastructures urbaines, vétusté de nombreux bâtiments, insalubrité de l'eau potable, pollution de l'air et des rivières qui la traversent, gestion désuète des déchets... Liste non exhaustive !
Pour qui n'a jamais mis les pieds au Népal, le choc est brutal. Katmandou donne l'impression de remonter le temps. Les bruits et odeurs sont saisissants. Les rues sont étroites et encombrées de véhicules divers...
Des rues étroites où piétons, rickshaws, véhicules et motocyclettes se disputent l'espace en douceur dans un concert de klaxons et de clochettes. Des vaches déambulant dans la ville et les bouses qu'elles laissent dans leur sillage. Des amoncellements d'ordures à ciel ouvert. Des regroupements d'habitations vétustes séparées les unes des autres par des ruelles sombres et humides où l'on ne peut circuler qu'à pied. Des fils électriques courant en désordre le long des bâtiments donnant l'impression que toutes les installations sont temporaires...
Pour qui n'a jamais mis les pieds au Népal, le choc est brutal. Katmandou donne l'impression de remonter le temps. Les bruits et odeurs sont saisissants. Les rues sont étroites et encombrées de véhicules divers...
Des rues étroites où piétons, rickshaws, véhicules et motocyclettes se disputent l'espace en douceur dans un concert de klaxons et de clochettes. Des vaches déambulant dans la ville et les bouses qu'elles laissent dans leur sillage. Des amoncellements d'ordures à ciel ouvert. Des regroupements d'habitations vétustes séparées les unes des autres par des ruelles sombres et humides où l'on ne peut circuler qu'à pied. Des fils électriques courant en désordre le long des bâtiments donnant l'impression que toutes les installations sont temporaires...